L’univers de la culture libre et non-marchande a sa galaxie : Framasoft

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Des millions de logiciels, des services en ligne, des livres, de la musique… Diffusés non par une multinationale, mais par une association, (…)

OPTIMUNDI‘s insight:

La culture n’est pas une marchandise. Elle doit circuler librement être accessible à tous.

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La maison autonome, ou comment vivre d’énergies renouvelables, d’amour et d’eau fraîche

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Chercheurs en économie alternative, c’est ainsi que se définissent Patrick et Brigitte Baronnet. Installés en Loire-Atlantique, depuis plus de 30 (…)

OPTIMUNDI‘s insight:

Sans doute mon plus grand phantasme!

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Des plantes pour produire de l’électricité

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Produire de l’électricité à partir de plantes, c’est possible. Une équipe de scientifiques néerlandais dirigée par Marjolein Helder de l’université de Wageningen a en effet développé un nouveau type de piles à combustible microbienne capable de produire de l’électricité grâce à l’interaction entre les racines des plantes et les bactéries du sol.

 

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A 16 ans, elle invente un bioplastique issu de peaux de bananes

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Lycéenne de 16 ans originaire d’Istanbul, Elif Bilgin a développé un bioplastique à partir de peaux de bananes. Une alternative écologique à la production de plastique aujourd’hui principalement issue du pétrole.

Fruit de 2 ans de travail, la trouvaille de l’adolescente turque a reçu un prix de 50.000 dollars du magazine Scientific American.

2 ans de recherches

Marie Curie est l’un de ses modèles. Elif Bilgin, lycéenne turque de 16 ans pourrait bien un jour elle aussi se voir distinguée du prix Nobel. Pour l’heure, elle s’est vue décerner une bourse de 50.000 dollars par le magazine Scientific American. Sa trouvaille : un bioplastique développé à partir de peaux de bananes.

En s’inspirant de ce qui se fait déjà avec les pelures de mangues, l’adolescente a réussi au terme de 2 années de recherche à transformer la cellulose contenue dans la peau de banane en un plastique écologique. Le matériau pourrait notamment être utilisé comme isolant de câbles.

En lice au Google Fair Science

Celle pour qui la « science est une vocation » aime à citer Thomas Edison pour expliquer la persévérance dont elle a fait preuve pendant ses recherches. Avant d’aboutir à la bonne formule, « je n’ai pas échoué, j’ai juste trouvé dix mille moyens qui ne fonctionnaient pas » lance-t-elle dans la vidéo de présentation de son projet. Elif Bilgin et son bioplastique sont aujourd’hui en lice au concours Google Fair Science qui récompense la fine fleur des jeunes espoirs scientifiques. Résultat attendu en septembre.

Nicolas Blain

Voir aussi:

VIDEO: Elif Bilgin, finaliste du Google Science Fair Global avec son bioplastique issu de peaux de bananes

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KOKOPELLI condamnée: biodiversité, la fin des illusions

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Il faut être réaliste : les semences que défend l’association Kokopelli, étant maintenues dans l’illégalité par une volonté politique, nous ne pouvions pas gagner ces procès. 

 

 

Dans le cas du procès de la SAS Baumaux pour concurrence déloyale, M. Baumaux verra donc son bénéfice de 800.000€ augmenté de 10.000€ et recevra 2.000€ pour ses frais. L’état français recevra 17.500€ au motif que KOKOPELLI vend des semences illégales, 5.000€ seront consacrés aux frais et à l’information du bon peuple sur les pratiques dangereuses de l’association KOKOPELLI. Les semences qui ont nourri nos grands-parents et qui servent à nous nourrir aujourd’hui par le jeux des croisements, sont donc devenues illégales et dangereuses. 

 

 

 

Nous avons eu droit au grenelle de l’environnement : il faut sauver la biodiversité ! alors pourquoi condamner une association qui sauvegarde avec ses adhérents et ses sympathisants, plus de 2500 variétés en risque de disparition ? 

 

 

Pourquoi condamner ces semences dont la FAO reconnaît qu’elles sont une des solutions pour assurer la souveraineté alimentaire, face aux dérèglements climatiques et à l’augmentation de la population mondiale ? 

 

 

 

Pourquoi les mêmes variétés, selon qu’elles sont vendues par KOKOPELLI ou d’autres opérateurs entraînent condamnation ou mansuétude ? Pourquoi les grandes surfaces vendent des fruits et légumes issus des variétés interdites à KOKOPELLI, en toute impunité (en tout cas à notre connaissance). 

 

 

 

Les condamnations infligées à KOKOPELLI ne sont donc pas à chercher dans la nature des semences que protège l’association, mais dans ses actions. L’association propose aux jardiniers, aux paysans, d’être autonomes et responsables, face au vivant. Dans notre société du tout marchandise, c’est intolérable. Le plus grand grief (sous jacent) fait aux semences anciennes ou de pays, est d’être reproductibles et qui plus est adaptables à de très nombreuses conditions de cultures, sans le soutien de l’agro chimie. 

 

 

Voilà la faute de KOKOPELLI : conserver le levain des savoirs populaires, agronomiques et génétiques. A l’heure où l’on veut nous faire croire que le tout hybride, OGM, chimique, énergie fossile, sont les seules possibilités d’assurer notre alimentation, propager l’autonomie semencière par l’exemple est devenu répréhensible. Ce qu’il faut retenir de ces condamnations, c’est la volonté affichée d ‘éradiquer les alternatives techniques et semencières autonomes. 

 

 

Depuis 15 ans, KOKOPELLI protège la diversité de nos jardins, de nos champs, de nos assiettes, tout en essayant de faire évoluer le cadre juridique vers une reconnaissance de la valeur agronomique et culturelle des variétés reproductibles : L’ETAT FRANÇAIS NOUS A FAIT ECHOUER. 

 

 

 

Aujourd’hui, la disparition potentielle de KOKOPELLI ouvre un boulevard à l’uniformisation culturelle et productiviste agricole. La disparition de la « vraie » biodiversité basée sur la variabilité génétique d’une multitude de variétés locales ne sera jamais, et de très loin, compensée par la multiplicité de quelques variétés clonées. Il est intéressant de noter la similitude des actions et de la répression envers les faucheurs volontaires, les amis de l’ortie, les défenseurs de l’herboristerie et KOKOPELLI : chacun cherche à sa façon, à protéger et promouvoir la vie et la continuité des savoirs. Pour notre gouvernement, tout cela est devenu répréhensible ! 

 

 

 

Face à ses contradictions, entre ses déclarations enflammées du Grenelle de l’Environnement et les condamnations qu’il obtient contre les défenseurs de la biodiversité, gageons que l’état français mettra un point d’honneur à prendre en réelle considération le devenir des générations futures. L’association KOKOPELLI a toujours proposé la résistance fertile non violente et le dialogue, peut-être étions-nous trop en avance ?

 

 

Mais maintenant, sauver la biodiversité est d’une extrême urgence. Si l’agriculture productiviste que protége le gouvernement se trompe, vous trompe, nous trompe, quelle stratégie de repli aurons-nous ? Si nos élus ont contribué à éradiquer notre patrimoine semencier alimentaire ? 

 

 

 

La solution est dans votre camp, mesdames et messieurs nos gouvernants. 

 

 

Une fois, vous avez pu revendiquer « responsables, mais pas coupables ». Devant la faim du peuple, cet argument ne tient pas. N’obscurcissez pas l’avenir, il l’est déjà suffisamment. 

 

Mais peut-être faut-il lancer un appel : aux semences, citoyens ! 

 

Raoul JACQUIN 

 

Comité de Soutien à l’Association 

 

Kokopelli La finalité de ce comité de soutien est : 

 

– de protéger l’Association Kokopelli des attaques de l’état Français et du lobby semencier. 

– de libérer les semences de vie de l’emprise des multinationales de l’agro-chimie et des transgéniques. 

 

Le Manifeste de Kokopelli, fondateur et fédérateur de ce comité de soutien peut être téléchargé. 

 

Contacts 

 

– Raoul Jacquin: 04 67 97 50 18 / raoul@kokopelli.asso.fr 

 

– Jocelyn Moulin : 06 61 98 59 59 

 

– Dominique Guillet: dominique@kokopelli.asso.fr

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AUDIO: Transformer la France en potager géant – France Info

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Gros plan ce vendredi matin sur une opération hors du commun lancée ce samedi dans toute la France : « Transformer les grandes villes en potager géant ». Un projet plus que possible!

C’est mouvement qui est entrain de germer en France. Qui pousse à vitesse grand V : « Les potagers à partager ».

 

Vous plantez quelques graines chez vous dans une jardinière et n’importe quel badaud peut venir cueillir librement les fruits et légumes qui ont poussés.

 

Cette tendance qui débarque en France nous vient tout droit du Nord de la Grande-Bretagne, avec l’association  » Incroyables Comestibles ».

 

Ce samedi 4 mai, ils s’associe au mouvement écologiste « Colibris » pour lancer une opération nationale : »transformer nos villes en immense potager ».

Ouvrir le player audio pour écouter l’émission en cliquant ici

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La pile du futur est née, ultra-puissante et biodégradable

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Charger un téléphone en 30 secondes, une voiture électrique en l’espace de quelques minutes ne relève plus de la science fiction.

Deux chercheurs américains ont mis au point un super-condensateur révolutionnaire à base de graphène. Ultra-puissant, super résistant, flexible et biodégradable, cette pile du futur offre des opportunités de développement très prometteuses. 

On côtoie le graphène depuis notre plus jeune âge sans le connaître vraiment. C’est un cristal de carbone que l’on retrouve notamment sous forme de graphite dans les mines de nos crayons à papier. Sa découverte par deux chercheurs de l’université de Manchester remonte à 2004. Le duo de scientifiques s’est vu remettre le Nobel de physique pour leurs travaux en 2010.

Les plus grandes découvertes sont souvent le fruit du hasard, de l’erreur ou de l’accident. L’idée s’est vérifiée pour notre pile du futur. Après avoir déposé de l’oxyde de graphite liquide sur un CD, Richard Kaner et Maher El-Kady, deux autres chercheurs de l’université de Californie ont solidifié la substance grâce au laser d’un graveur d’ordinateur. Ils s’aperçoivent alors en le testant avec un appareil électronique et une LED que celle-ci reste allumée plusieurs minutes après avoir chargé le graphène seulement quelques secondes. Eurêka !

Sitôt branché, sitôt chargé. A peine 30 secondes pour un smartphone, quelques minutes tout au plus pour une voiture électrique, c’est le temps, ou l’instant, qu’il faudra pour recharger nos appareils électriques demain. Non content d’être le meilleur conducteur d’électricité connu à ce jour, le graphène recèle d’atouts multiples : il est ultra-puissant, super résistant et flexible. Et cerise sur le gâteau, il est aussi biodégradable. Constitué d’atomes de carbone, il est donc possible d’en faire du compost au côté de déchets végétaux

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